KATE BARRY I CÉDRIC KLAPISCH I ED LACHMAN I STÉPHANE MANEL I ATIQ RAHIMI
Pendant le mois de février, (re)découvrez sur les murs de la galerie les plus beaux paysages et natures mortes de nos artistes fidèles
La Galerie Cinéma
KATE BARRY I CÉDRIC KLAPISCH I ED LACHMAN I STÉPHANE MANEL I ATIQ RAHIMI
Pendant le mois de février, (re)découvrez sur les murs de la galerie les plus beaux paysages et natures mortes de nos artistes fidèles
Photographies du livre de Macha Méril L’homme de Naples
06.12.22 > 31.12.22
Anne-Dominique Toussaint est heureuse de présenter L’homme de Naples, une exposition des photographies de Luciano d’Alessandro issues du livre de Macha Méril paru en novembre dernier aux éditions de l’Archipel.
Dans L’homme de Naples, Macha Méril raconte son histoire d’amour passionnée, dont elle n’avait jamais parlé, avec le photographe italien.
Un texte fort et émouvant agrémenté de 50 photos superbes et intimes, dont la plupart sont exposées à la Galerie Cinema.
Macha Méril est comédienne, romancière et auteur d’ouvrages autobiographiques et littéraires. Son dernier roman, Vania, Vassia et la fille de Vassia (Liana Lévi), a révélé son talent de conteuse et d’historienne, ancré sur la mémoire des réfugiés russes en France, dont elle est issue. Veuve du célèbre compositeur Michel Legrand, elle est en charge du rayonnement de son œuvre. On l’a vue dernièrement au théâtre dans Sorcière, un seule-en-scène sur des textes de Marguerite Duras.
Luciano D’Alessandro (1932-2015) est un grand photo-journaliste napolitain. De 1965 à 1968, il se plonge dans l’univers des asiles psychiatriques et en 1969, il publie son premier album, Gli esclusi (Les exclus), dont seront tirés un documentaire et un film pour la télévision. En 1980, il devient responsable des services photographiques du journal Il Mattino de Naples. Il s’installe à Paris en 1983, où il fréquente les photographes de l’Agence Magnum.
Lorsque Macha et Luciano se rencontrent, ils se plaisent au premier regard. Lui est globe-trotter et observateur du monde. Elle est une actrice révélée par la Nouvelle Vague, ambitieuse et indépendante. Tout les sépare, mais l’amour est là, qui aimante leurs corps. Ils se fascinent l’un l’autre et il la photographie à tous moments. L’énigme du lien puissant, qui les unit et perturbe leur existence, transparaît dans les photos bouleversantes que Macha Méril découvre quarante ans plus tard, après la mort du photographe. Les clichés en noir et blanc qui immortalisent l’actrice interrogent le mystère du sentiment amoureux tout en étant emblématiques des mots de Roland Barthes : « La photographie ne dit pas (forcément) ce qui n’est plus, mais seulement et à coup sûr, ce qui a été ».
Un entretien avec Macha Méril est diffusé dans la salle de la projection de la galerie pendant l’exposition.
04.11.22 > 26.11.22
À l’occasion de la sortie du film Trois nuits par semaine de Florent Gouëlou avec Pablo Pauly, Cookie Kunty et Hafsia Herzi le 9 novembre 2022 au cinéma, Anne-Dominique Toussaint, Yukunkun Productions et Pyramide Films sont heureux de présenter une exposition de photographies et de décors du film à la Galerie Cinema du 4 au 26 novembre.
Florent Gouëlou est réalisateur et acteur. Avec son film de fin d’études, Un homme mon fils, il remporte le prix d’interprétation au festival de Clermont-Ferrand en 2018. Suivront trois courts-métrages multiprimés, (Beauty Boys en 2019, Premier Amour et Où vont les sons en 2020).
Florent Gouëlou est aussi Javel Habibi la nuit, une drag queen solaire et engagée, qui se produit tous les mois sur la scène de la Flèche d’Or à Paris. Derrière le divertissement, c’est l’occasion pour lui de brasser des questions politiques et de transmettre son amour pour le cinéma.
Trois Nuits par semaine, présenté en ouverture de la Semaine de la Critique à la Mostra de Venise, est son premier long-métrage. Le film raconte l’histoire de Baptiste (Pablo Pauly), 29 ans et aspirant photographe, en couple depuis plusieurs années avec Samia (Hafsia Herzi), quand il fait la rencontre de Cookie Kunty, une jeune drag queen de la nuit parisienne. Poussé par l’idée d’un projet photo avec elle, il s’immerge dans un monde dont il ignore tout, et découvre Quentin, le jeune homme derrière la drag queen.
Par le biais de la photographie, Baptiste explore la double identité de Quentin en le suivant pendant les préparatifs pour devenir Cookie, lors de ses exhibitions sur scène ou encore dans des moments d’intimité.
L’ exposition de ses clichés prend vie dans l’espace de la Galerie Cinema : 12 photographies réalisées pendant le tournage par l’actrice et photographe Calypso Baquey habitent la galerie le temps de trois semaines pour une plongée à la fois festive et mélancolique dans les coulisses de l’univers des drag queens.
Le court-métrage Premier Amour est diffusé dans la salle de projection de la galerie pendant l’exposition.
07.10.22 > 29.10.22
Pour célébrer le succès du roman-photo Guacamole Vaudou, les éditions du Seuil et Anne-Dominique Toussaint sont heureux de présenter une exposition de planches et de cases tirées du livre à la Galerie Cinema du 7 au 29 octobre.
Guacamole Vaudou raconte le parcours de Stéphane Chabert, incarné par Éric Judor, loser qui travaille dans la pub et voit sa vie se transformer par la grâce d’un sortilège vaudou administré par un gourou haut en couleurs. De loser magnifique, Chabert/Judor devient un winner américain en veste à paillettes, qui connaitra une ascension aussi fulgurante qu’hilarante.
Un casting prestigieux, avec notamment Alison Wheeler, Hervé Le Tellier, Arthur H., Elisabeth Quin, David Castello-Lopes ou Nicolas et Bruno, s’en donne à cœur joie à ses côtés.
Acteur, scénariste et réalisateur, Éric Judor accède à la notoriété grâce au duo comique Éric et Ramzy qu’il forme avec Ramzy Bedia. Après la sitcom H et plusieurs succès cinématographiques – La Tour Montparnasse infernale (2001), Seuls Two (2008) – Judor entame une collaboration avec le cinéaste Quentin Dupieux. De 2011 à 2019 il est réalisateur et auteur de la série Platane pour Canal +, où il joue aussi le rôle principal.
Fabcaro est un célèbre auteur français de bandes dessinées. Après Carnet du Pérou, sélectionné pour les prix d’Angoulême en 2014, son livre Zaï zaï zaï zaï (2015) devient un best-seller, couronné par de nombreux prix. Il publie, entre autres, Steak it easy (2016), Moins qu’hier (plus que demain) (2018) et Moon River (2021).
Les personnages absurdes et les décors rétro du livre d’Éric Judor et Fabcaro prennent vie sur les murs de la Galerie Cinema Anne-Dominique Toussaint : 22 reproductions du livre en grand format contrecollées sur Dibond qui nous entrainent dans l’atmosphère kitch et colorée des années 70, pour une expérience (presque) chamanique !
À PARTIR DE VENDREDI 02.09
I EXPOSITION RÉTROSPECTIVE I Une plongée dans l’univers du cinéma à travers ses visages
Pendant le mois de septembre, retrouvez sur nos murs les plus beaux portraits réalisés par les artistes fidèles de la Galerie
DAMON BAKER I KATE BARRY I ANNABEL BRIENS I ROMAIN DURIS I AGNÈS GODARD I MARCEL HARTMANN I MATIAS INDJIC I BOUCHRA JARRAR I CÉDRIC KLAPISCH I ED LACHMAN I STÉPHANE MANEL I RIAD SATTOUF
Madame Figaro célèbre le Festival de Cannes
11.05.22 > 11.06.22
Anne-Dominique Toussaint est heureuse de présenter l’exposition proposée par Madame Figaro pour fêter le 75e Festival de Cannes à la Galerie Cinema.
L’exposition inédite réunit les portraits de trente stars du cinéma photographiées ces dix dernières années pour le magazine par neuf photographes internationaux.
Jodie Foster devant l’objectif de Jérôme Bonnet, Martin Scorsese par le jeune photographe prodige Damon Baker, Charlotte Gainsbourg selon Benoît Peverelli et tant d’autres images iconiques défilent sur les murs de la Galerie pour une immersion dans l’atmosphère cannoise… à 900 km de la Croisette.
Madame Figaro célèbre le Festival de Cannes à la Galerie Cinema Anne-Dominique Toussaint à partir du 11 mai 2022.
22.03.22 > 30.04.22
À l’occasion de la sortie au cinéma le 30 mars 2022 du film En Corps de Cédric Klapisch, Anne-Dominique Toussaint est heureuse de présenter Fixer le mouvement, une exposition des photographies de Cédric Klapisch et Emmanuelle Jacobson Roques.
Quatre ans après nous avoir plongés dans les paysages de la Bourgogne avec l’exposition de ses images liées au film Ce qui nous lie, Cédric Klapisch revient aujourd’hui à la Galerie Cinema accompagné par Emmanuelle Jacobson Roques, photographe qui travaille avec lui depuis plusieurs années, pour nous dévoiler le travail photographique issu de la préparation du film En Corps.
Réalisateur, scénariste et producteur, Cédric Klapisch est aujourd’hui une référence du cinéma français, mais la photographie a toujours été au cœur de son travail. Passionné d’images, l’artiste a un attachement particulier pour ce moyen d’expression, réel point de départ pour ses films.
Depuis quinze ans, Emmanuelle Jacobson Roques travaille comme photographe de plateau. Sa rencontre avec Cédric Klapisch est humainement et professionnellement un moment essentiel. Avant En Corps, ils ont travaillé ensemble sur Ma part du gâteau, la série 10%, Ce qui nous lie et Deux Moi.
Fruit de la collaboration entre Cédric Klapisch et le danseur et chorégraphe israélien Hofesh Shechter, En Corps raconte l’histoire d’Elise (Marion Barbeau, première danseuse de l’Opéra de Paris), grande danseuse classique qui, à la suite d’un accident pendant un spectacle, apprend qu’elle ne pourra plus danser. C’est grâce à la rencontre avec une compagnie de danse contemporaine qu’elle pourra se réparer, en apprenant une nouvelle façon de danser… et de vivre.
Dans Fixer le mouvement les photographies de plateau d’Emmanuelle Jacobson Roques dialoguent avec les images de moments du tournage capturés par l’objectif de Cédric Klapisch, ainsi qu’une sélection de ses photographies des danseurs de l’Opéra de Paris réalisées pour Madame Figaro.
Avec ces clichés vivants et poétiques, où le temps et les corps sont suspendus, l’exposition ouvre une réflexion sur le pouvoir expressif de la danse alors qu’elle est transformée en image, par le biais d’un processus inverse à celui du cinéma : du mouvement à l’image fixe.
Dans la salle de projection sont visibles deux extraits du documentaire Pas de deux avec Cédric Klapisch (diffusé le 29 mars sur Canal +) et le making of du shooting photo pour Madame Figaro, réalisés par Jean-Luc Perréard.
Fixer le mouvement, une exposition de Cédric Klapisch et Emmanuelle Jacobson Roques à la Galerie Cinema Anne-Dominique Toussaint à partir du 22 mars 2022.
07.02.22 > 02.03.22
En février, la galerie met à l’honneur sur ses murs et sur son site une sélection d’œuvres de nos artistes fidèles
KATE BARRY – ANNABEL BRIENS – ROMAIN DURIS – ED LACHMAN – CHARLOTTE LE BON – STEPHANE MANEL – BRUNO NUYTTEN – RIAD SATTOUF
LE JEUNE ACTEUR – Aventures de Vincent Lacoste au cinéma
26.11.21 > 07.01.22
À l’occasion de la sortie du livre Le Jeune Acteur de Riad Sattouf, Anne-Dominique Toussaint est heureuse de présenter une exposition de dessins extraits de l’ouvrage à la Galerie Cinema à partir du 26 novembre.
20 tirages d’art, en édition limitée, numérotés et signés par Riad Sattouf et Vincent Lacoste seront présentés sur les murs de la Galerie.
Riad Sattouf est l’un des auteurs francophones de bandes dessinées les plus reconnus et célébrés en France et à l’international.
Après entre autres La Vie secrète des jeunes, Les aventures Pascal Brutal, Les Cahiers d’Esther, sa
saga autobiographique L’Arabe du futur a connu un succès phénoménal. Il a également réalisé deux films : Les beaux gosses, César du meilleur premier film en 2010 et Jacky au royaume des filles, toujours avec Vincent Lacoste, film précurseur et féministe sorti en 2014.
Le livre LE JEUNE ACTEUR raconte les premiers pas au cinéma de Vincent Lacoste, du premier casting pour Les Beaux Gosses jusqu’au triomphe du film à Cannes en 2010.
Repéré lors d’un casting sauvage, Vincent Lacoste n’avait jamais imaginé être acteur. Riad Sattouf le choisit pour incarner Hervé, un adolescent timide et complexé. Le jeune acteur de 14 ans se retrouve alors propulsé dans le monde secret, fascinant et parfois intimidant du cinéma. Depuis, Vincent Lacoste a tourné dans une vingtaine de films, dont Hippocrate de Thomas Lilti, Victoria de Justine Triet ou récemment Illusions perdues de Xavier Giannoli. Le livre Le Jeune acteur raconte l’histoire vraie d’un adolescent anonyme devenu l’un des acteurs les plus talentueux de sa génération.
Anne-Dominique Toussaint, productrice des deux films de Riad Sattouf, accueille aujourd’hui dans sa galerie ce couple iconique du cinéma français qu’elle a vu naître. Dans la salle de projection, les premières images du casting de Vincent Lacoste et ses premiers essais. Une boucle vertueuse du livre au cinéma et du cinéma au livre.
08.10.21 > 20.11.21
À l’occasion de la sortie du film Les Intranquilles de Joachim Lafosse avec Leïla Bekhti et Damien Bonnard, Anne-Dominique Toussaint est heureuse de présenter Atelier Intranquille, une exposition des tableaux spécialement réalisés pour le film par Piet Raemdonck et Damien Bonnard, à partir du 8 octobre à la Galerie Cinema.
« Fatigué de moi, à la recherche de l’autre, au coin d’un quartier d’Anvers, j’ai découvert les toiles de Piet Raemdonck, leur vitalité, leur accueil » Joachim Lafosse s’est adressé à l’artiste pour la réalisation des tableaux qui apparaissent dans son nouveau film, dont le protagoniste, interprété par Damien Bonnard, est un artiste-peintre qui sou re de troubles bipolaires.
Piet Raemdonck est un artiste belge né à Gand en 1972. Se servant des genres classiques de la peinture, ses œuvres explorent le dialogue entre le figuratif et l’abstrait, et jouent avec différents modes d’expression. L’artiste veut que le tableau soit un monde dans lequel vous entrez, rien qu’en le regardant. Le frisson visuel est au cœur de son travail. Piet Raemdonck vit de sa peinture depuis ses 25 ans. Après avoir vécu à Anvers pendant presque trente ans – où il avait son propre espace d’exposition – il y a deux ans il décide d’installer son atelier dans les champs de sa région natale entre Bruges et Gand. Actuellement il est représenté au Royaume Uni et en Australie par Otomys Contemporary.
Avant de devenir une des figures marquantes du cinéma français, Damien Bonnard a fait les Beaux-Arts et a été l’assistant de la peintre bruxelloise Marthe Wéry. En amont du tournage de Les Intranquilles, l’acteur et Piet Raemdonck ont préparé ensemble les toiles et les croquis. Le peintre a commencé certains tableaux, qui ont ensuite été retravaillés par l’acteur dans le film.
Joachim Lafosse a voulu également que l’atelier de l’artiste se transporte sur le décor du film : de même que l’atelier de Bernard Dufour était celui de Michel Piccoli dans La Belle Noiseuse, l’atelier de Piet Raemdonck est devenu celui de Damien Bonnard.
C’est en quelque sorte ce-même atelier qui aujourd’hui voyage encore au cœur de la Galerie Cinema. Espace dédié à la rencontre entre l’art et le cinéma, la galerie accueillera jusqu’au 20 novembre Atelier Intranquille, une immersion dans le film à travers « cette forme qui ne cesse de rappeler que l’art est une indispensable manière d’être un autre ».