| LABYRINTHES

L’exposition événement du peintre fictif Renzo Nervi

09.06.23 > 08.07.23

À l’occasion de la sortie du film UN COUP DE MAÎTRE de Rémi Bezançon avec Vincent Macaigne et Bouli Lanners le 16 août 2023 au cinéma Anne-Dominique Toussaint et Zinc. sont heureux de présenter une exposition des tableaux réalisés pour le film par Adam Martyniak, Milosz Flis et Anita Welter.

Un Coup de Maître raconte l’histoire d’Arthur (Vincent Macaigne), propriétaire d’une galerie d’art qui représente Renzo Nervi (Bouli Lanners), un peintre en pleine crise existentielle.
Les deux hommes sont amis depuis toujours et, même si tout les oppose, l’amour de l’art les réunit. En panne de création depuis plusieurs années, Renzo sombre peu à peu dans une radicalité qui le rend ingérable. Pour le sauver, Arthur élabore un plan audacieux qui finira par les dépasser…

Rémi Bezançon est réalisateur et scénariste. Révélé au grand public avec Premier jour du reste de ta vie en 2008, en 2011 il adapte le roman d’Eliette Abécassis Un Heureux événement, avec Louise Bourgoin et Pio Marmaï. Après un tournant vers l’animation avec Zarafa (2012), il revient ensuite à la prise de vue réelle avec Nos Futurs (2015) et Le Mystère Henri Pick (2019).

L’exposition Labyrinthes du peintre fictif Renzo Nervi prend vie dans l’espace de la Galerie Cinema : les 18 tableaux réalisés pour le film nous emportent dans l’univers coloré et énigmatique d’un artiste controversé (et dans celui du cinéaste). Un faux documentaire sur Renzo Nervi, ainsi que des (vraies) interviews avec le réalisateur et les chefs décorateurs, sont visibles dans la petite salle de projection de la Galerie pendant l’exposition.

Une vente aux enchères des tableaux sera organisée cet été au profit de l’association ACTION CONTRE LA FAIM.

| PHILIPPE R. DOUMIC

06.05.23 > 03.06.23

À l’occasion de la sortie du dvd du film Sous son regard l’étincelle de Laurence Doumic et Sébastien Cauchon, à la suite du livre Philippe R. Doumic, l’œil du cinéma, édités par Capricci, Anne-Dominique Toussaint est heureuse de présenter une nouvelle exposition des photographies iconiques de Philippe R. Doumic à la Galerie Cinema.


Dans les années 50, un jeune photographe fait ses débuts dans le métier, il réalise pour Unifrance films de nombreux portraits en noir et blanc des étoiles du cinéma français: des talents internationalement reconnus – Gérard Philippe, Michel Simon, Micheline Presle, Danièle Darrieux, Jean Gabin et bien d’autres – mais aussi des nouveaux venus – Catherine Deneuve, Jean-Paul Belmondo, Alain Delon, Brigitte Bardot – qui deviendront des figures légendaires du cinéma mondial.

Il travaille en lumière naturelle et fait lui-même ses tirages. Il signe ses photos « Philippe R. Doumic ». Elles sont d’une beauté épurée, elles ne cherchent pas à s’afficher comme des objets artistiques, mais plutôt à dévoiler des personnalités, à travers des regards, des gestes et des élans naturels.
Toutes ont dormi pendant soixante ans dans les meubles de son laboratoire à Paris puis dans une petite chambre de sa maison en Sologne. Certaines de ses images sont devenues emblématiques comme la photo de Godard à la pellicule, reproduite sur de très nombreuses publications. D’autres tout aussi belles sont restées inédites. Toutes constituent aujourd’hui un fonds remarquable, un témoignage mémoriel et artistique unique de cette époque rêvée du cinéma.


L’ouvrage Philippe R. Doumic, l’œil du cinéma rend hommage à l’homme et à l’œuvre à travers près de 200 photographies de personnalités du cinéma, qui saisissent une époque autant que des regards d’une force rare. Il raconte aussi leur histoire et celle d’un homme très discret, sous la plume d’un témoin unique, sa fille Laurence.


À travers les regards croisés de Laurence Doumic et Sébastien Cauchon, Sous son regard l’étincelle dresse le portrait intime d’un artiste méconnu, paradoxalement éclipsé par une œuvre sans équivalent aux côtés des grands noms du 7e Art français des années soixante. De la Sologne à Hollywood, en passant par Paris et New York, le film s’envisage comme une plongée au sein d’une décennie exceptionnelle, à la redécouverte d’un photographe au talent et au parcours réellement singuliers.


Une sélection de 40 tirages en édition limitée sont disponibles à la vente sur les murs de la Galerie Cinema, tandis que des extraits du film sont visibles dans la petite salle de projection de la galerie pendant l’exposition.

| THOMAS GOISQUE – Sur les chemins noirs

17.03.23 > 01.04.23

À l’occasion de la sortie au cinéma le 22 mars du film Sur les chemins noirs de Denis Imbert, tiré du livre autobiographique de Sylvain Tesson, avec Jean Dujardin, Anne-Dominique Toussaint est heureuse de présenter une exposition des photographies de Thomas Goisque.

Sur les chemins noirs raconte l’histoire de Pierre (Jean Dujardin), écrivain explorateur qui, suite à un accident, plonge dans un coma profond. Revenu à la vie, il se fait la promesse de traverser la France à pied du Mercantour au Cotentin.

Aventurier et écrivain français, Sylvain Tesson fascine ses lecteurs par ses récits de voyage. En 2009, il obtient le prix Goncourt de la nouvelle pour Une vie à coucher dehors. En 2016 il publie chez Gallimard Sur les chemins noirs, récit du voyage de reappropriation de son corps après un grave accident.

Thomas Goisque est un reporter-photographe français né en 1969. Depuis plus de vingt ans, il parcourt le monde pour la presse magazine française et internationale. Collaborateur régulier du Figaro Magazine depuis 1994, il a déjà publié plus de soixante grands reportages et visité près de 90 pays.

En 2015, Denis Imbert découvre les premières photos prises par Thomas Goisque, où y figure un Sylvain Tesson en héros rimbaldien, de son retour d’Afrique. C’est un homme affaibli, amaigri, armé de bâtons, luttant contre le relief escarpé d’une géographie de traverse. Le réalisateur est tout de suite séduit par le mouvement romanesque de cette marche forcée, qui s’envisage comme une fuite, une réparation, un voyage intérieur au cœur de la ruralité. Suivra la lecture du livre Sur les chemins noirs pour convaincre Denis Imbert d’adapter cette histoire au cinéma.

Invité par Denis Imbert comme photographe de plateau, Thomas Goisque suit Jean Dujardin pendant le tournage, empruntant les mêmes chemins qu’il avait parcouru des années auparavant aux côtés de Sylvain Tesson. À travers ses clichés à la fois spectaculaires et introspectifs, les chemins de Sylvain et de Jean/Pierre se croisent le temps d’une promenade contemplative dans l’espace de la Galerie Cinema Anne-Dominique Toussaint.

Dans la petite salle de projection, Sylvain Tesson nous raconte de sa rencontre avec Jean Dujardin lors du tournage du film.

| RÉTROSPECTIVE I Les paysages de la Galerie Cinema

KATE BARRY  I CÉDRIC KLAPISCH  I ED LACHMAN  I STÉPHANE MANEL  I  ATIQ RAHIMI

Pendant le mois de février, (re)découvrez sur les murs de la galerie les plus beaux paysages et natures mortes de nos artistes fidèles

| LUCIANO D’ALESSANDRO

Photographies du livre de Macha Méril L’homme de Naples

06.12.22 > 31.12.22

Anne-Dominique Toussaint est heureuse de présenter L’homme de Naples, une exposition des photographies de Luciano d’Alessandro issues du livre de Macha Méril paru en novembre dernier aux éditions de l’Archipel.

Dans L’homme de Naples, Macha Méril raconte son histoire d’amour passionnée, dont elle n’avait jamais parlé, avec le photographe italien.
Un texte fort et émouvant agrémenté de 50 photos superbes et intimes, dont la plupart sont exposées à la Galerie Cinema.

Macha Méril est comédienne, romancière et auteur d’ouvrages autobiographiques et littéraires. Son dernier roman, Vania, Vassia et la fille de Vassia (Liana Lévi), a révélé son talent de conteuse et d’historienne, ancré sur la mémoire des réfugiés russes en France, dont elle est issue. Veuve du célèbre compositeur Michel Legrand, elle est en charge du rayonnement de son œuvre. On l’a vue dernièrement au théâtre dans Sorcière, un seule-en-scène sur des textes de Marguerite Duras.

Luciano D’Alessandro (1932-2015) est un grand photo-journaliste napolitain. De 1965 à 1968, il se plonge dans l’univers des asiles psychiatriques et en 1969, il publie son premier album, Gli esclusi (Les exclus), dont seront tirés un documentaire et un film pour la télévision. En 1980, il devient responsable des services photographiques du journal Il Mattino de Naples. Il s’installe à Paris en 1983, où il fréquente les photographes de l’Agence Magnum.

Lorsque Macha et Luciano se rencontrent, ils se plaisent au premier regard. Lui est globe-trotter et observateur du monde. Elle est une actrice révélée par la Nouvelle Vague, ambitieuse et indépendante. Tout les sépare, mais l’amour est là, qui aimante leurs corps. Ils se fascinent l’un l’autre et il la photographie à tous moments. L’énigme du lien puissant, qui les unit et perturbe leur existence, transparaît dans les photos bouleversantes que Macha Méril découvre quarante ans plus tard, après la mort du photographe. Les clichés en noir et blanc qui immortalisent l’actrice interrogent le mystère du sentiment amoureux tout en étant emblématiques des mots de Roland Barthes : « La photographie ne dit pas (forcément) ce qui n’est plus, mais seulement et à coup sûr, ce qui a été ».

Un entretien avec Macha Méril est diffusé dans la salle de la projection de la galerie pendant l’exposition.

| TROIS NUITS PAR SEMAINE

04.11.22 > 26.11.22

À l’occasion de la sortie du film Trois nuits par semaine de Florent Gouëlou avec Pablo Pauly, Cookie Kunty et Hafsia Herzi le 9 novembre 2022 au cinéma, Anne-Dominique Toussaint, Yukunkun Productions et Pyramide Films sont heureux de présenter une exposition de photographies et de décors du film à la Galerie Cinema du 4 au 26 novembre.

Florent Gouëlou est réalisateur et acteur. Avec son film de fin d’études, Un homme mon fils, il remporte le prix d’interprétation au festival de Clermont-Ferrand en 2018. Suivront trois courts-métrages multiprimés, (Beauty Boys en 2019, Premier Amour et Où vont les sons en 2020).

Florent Gouëlou est aussi Javel Habibi la nuit, une drag queen solaire et engagée, qui se produit tous les mois sur la scène de la Flèche d’Or à Paris. Derrière le divertissement, c’est l’occasion pour lui de brasser des questions politiques et de transmettre son amour pour le cinéma.

Trois Nuits par semaine, présenté en ouverture de la Semaine de la Critique à la Mostra de Venise, est son premier long-métrage. Le film raconte l’histoire de Baptiste (Pablo Pauly), 29 ans et aspirant photographe, en couple depuis plusieurs années avec Samia (Hafsia Herzi), quand il fait la rencontre de Cookie Kunty, une jeune drag queen de la nuit parisienne. Poussé par l’idée d’un projet photo avec elle, il s’immerge dans un monde dont il ignore tout, et découvre Quentin, le jeune homme derrière la drag queen.

Par le biais de la photographie, Baptiste explore la double identité de Quentin en le suivant pendant les préparatifs pour devenir Cookie, lors de ses exhibitions sur scène ou encore dans des moments d’intimité.
L’ exposition de ses clichés prend vie dans l’espace de la Galerie Cinema : 12 photographies réalisées pendant le tournage par l’actrice et photographe Calypso Baquey habitent la galerie le temps de trois semaines pour une plongée à la fois festive et mélancolique dans les coulisses de l’univers des drag queens.

Le court-métrage Premier Amour est diffusé dans la salle de projection de la galerie pendant l’exposition.

| ÉRIC JUDOR & FABCARO

Guacamole Vaudou

07.10.22 > 29.10.22

Pour célébrer le succès du roman-photo Guacamole Vaudou, les éditions du Seuil et Anne-Dominique Toussaint sont heureux de présenter une exposition de planches et de cases tirées du livre à la Galerie Cinema du 7 au 29 octobre.

Guacamole Vaudou raconte le parcours de Stéphane Chabert, incarné par Éric Judor, loser qui travaille dans la pub et voit sa vie se transformer par la grâce d’un sortilège vaudou administré par un gourou haut en couleurs. De loser magnifique, Chabert/Judor devient un winner américain en veste à paillettes, qui connaitra une ascension aussi fulgurante qu’hilarante.

Un casting prestigieux, avec notamment Alison Wheeler, Hervé Le Tellier, Arthur H., Elisabeth Quin, David Castello-Lopes ou Nicolas et Bruno, s’en donne à cœur joie à ses côtés.

Acteur, scénariste et réalisateur, Éric Judor accède à la notoriété grâce au duo comique Éric et Ramzy qu’il forme avec Ramzy Bedia. Après la sitcom H et plusieurs succès cinématographiques – La Tour Montparnasse infernale (2001), Seuls Two (2008) – Judor entame une collaboration avec le cinéaste Quentin Dupieux. De 2011 à 2019 il est réalisateur et auteur de la série Platane pour Canal +, où il joue aussi le rôle principal.

Fabcaro est un célèbre auteur français de bandes dessinées. Après Carnet du Pérou, sélectionné pour les prix d’Angoulême en 2014, son livre Zaï zaï zaï zaï (2015) devient un best-seller, couronné par de nombreux prix. Il publie, entre autres, Steak it easy (2016), Moins qu’hier (plus que demain) (2018) et Moon River (2021).

Les personnages absurdes et les décors rétro du livre d’Éric Judor et Fabcaro prennent vie sur les murs de la Galerie Cinema Anne-Dominique Toussaint : 22 reproductions du livre en grand format contrecollées sur Dibond qui nous entrainent dans l’atmosphère kitch et colorée des années 70, pour une expérience (presque) chamanique !

| PORTRAITS DE CINÉMA

À PARTIR DE VENDREDI 02.09

I EXPOSITION RÉTROSPECTIVE I Une plongée dans l’univers du cinéma à travers ses visages

Pendant le mois de septembre, retrouvez sur nos murs les plus beaux portraits réalisés par les artistes fidèles de la Galerie

DAMON BAKER I KATE BARRY I ANNABEL BRIENS I ROMAIN DURIS I AGNÈS GODARD I MARCEL HARTMANN I MATIAS INDJIC I BOUCHRA JARRAR I CÉDRIC KLAPISCH I ED LACHMAN I STÉPHANE MANEL I RIAD SATTOUF

| DAMON BAKER – JÉRÔME BONNET – STÉPHANE FEUGÈRE – XAVI GORDO – MATIAS INDJIC – MARCUS MAM – BENOÎT PEVERELLI – JEAN-FRANCOIS ROBERT – DENIS ROUVRE

Madame Figaro célèbre le Festival de Cannes

11.05.22 > 11.06.22

Anne-Dominique Toussaint est heureuse de présenter l’exposition proposée par Madame Figaro pour fêter le 75e Festival de Cannes à la Galerie Cinema.

L’exposition inédite réunit les portraits de trente stars du cinéma photographiées ces dix dernières années pour le magazine par neuf photographes internationaux.

Jodie Foster devant l’objectif de Jérôme Bonnet, Martin Scorsese par le jeune photographe prodige Damon Baker, Charlotte Gainsbourg selon Benoît Peverelli et tant d’autres images iconiques défilent sur les murs de la Galerie pour une immersion dans l’atmosphère cannoise… à 900 km de la Croisette.

Madame Figaro célèbre le Festival de Cannes à la Galerie Cinema Anne-Dominique Toussaint à partir du 11 mai 2022.

| CÉDRIC KLAPISCH – EMMANUELLE JACOBSON ROQUES

Fixer le mouvement

22.03.22 > 30.04.22

À l’occasion de la sortie au cinéma le 30 mars 2022 du film En Corps de Cédric Klapisch, Anne-Dominique Toussaint est heureuse de présenter Fixer le mouvement, une exposition des photographies de Cédric Klapisch et Emmanuelle Jacobson Roques.

Quatre ans après nous avoir plongés dans les paysages de la Bourgogne avec l’exposition de ses images liées au film Ce qui nous lie, Cédric Klapisch revient aujourd’hui à la Galerie Cinema accompagné par Emmanuelle Jacobson Roques, photographe qui travaille avec lui depuis plusieurs années, pour nous dévoiler le travail photographique issu de la préparation du film En Corps.

Réalisateur, scénariste et producteur, Cédric Klapisch est aujourd’hui une référence du cinéma français, mais la photographie a toujours été au cœur de son travail. Passionné d’images, l’artiste a un attachement particulier pour ce moyen d’expression, réel point de départ pour ses films.

Depuis quinze ans, Emmanuelle Jacobson Roques travaille comme photographe de plateau. Sa rencontre avec Cédric Klapisch est humainement et professionnellement un moment essentiel. Avant En Corps, ils ont travaillé ensemble sur Ma part du gâteau, la série 10%, Ce qui nous lie et Deux Moi.

Fruit de la collaboration entre Cédric Klapisch et le danseur et chorégraphe israélien Hofesh Shechter, En Corps raconte l’histoire d’Elise (Marion Barbeau, première danseuse de l’Opéra de Paris), grande danseuse classique qui, à la suite d’un accident pendant un spectacle, apprend qu’elle ne pourra plus danser. C’est grâce à la rencontre avec une compagnie de danse contemporaine qu’elle pourra se réparer, en apprenant une nouvelle façon de danser… et de vivre.

Dans Fixer le mouvement les photographies de plateau d’Emmanuelle Jacobson Roques dialoguent avec les images de moments du tournage capturés par l’objectif de Cédric Klapisch, ainsi qu’une sélection de ses photographies des danseurs de l’Opéra de Paris réalisées pour Madame Figaro.

Avec ces clichés vivants et poétiques, où le temps et les corps sont suspendus, l’exposition ouvre une réflexion sur le pouvoir expressif de la danse alors qu’elle est transformée en image, par le biais d’un processus inverse à celui du cinéma : du mouvement à l’image fixe.

Dans la salle de projection sont visibles deux extraits du documentaire Pas de deux avec Cédric Klapisch (diffusé le 29 mars sur Canal +) et le making of du shooting photo pour Madame Figaro, réalisés par Jean-Luc Perréard.

Fixer le mouvement, une exposition de Cédric Klapisch et Emmanuelle Jacobson Roques à la Galerie Cinema Anne-Dominique Toussaint à partir du 22 mars 2022.