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I MINI EXPO

HORAIRES D’OUVERTURE : DE 14h00 À 19h30

Le pop-up store Samuel a lieu dans la Petite Galerie juste à côté de notre galerie principale, dont les horaires d’ouverture restent inchangés.

Pour plus d’informations sur le pop-up store :

I MICHEL HAZANAVICIUS

15.11.24 > 20.12.24

Dessins préparatoires

À l’occasion de la sortie au cinéma le 20 novembre 2024 du film La Plus Précieuse des Marchandises de Michel Hazanavicius, Anne-Dominique Toussaint est heureuse de présenter une exposition inédite de ses dessins préparatoires, à partir du 15 novembre à la Galerie Cinema.

Michel Hazanavicius est un cinéaste mondialement connu pour son film The Artist (2011), couronné par près d’une centaine de prix, dont l’Oscar du meilleur réalisateur en 2012. Parmi ses autres films figurent notamment OSS 117 : Le Caire, nid d’espions (2006) et OSS 117 : Rio ne répond plus (2009), Le Redoutable (2017) et Coupez! (2022).

Ce que l’on sait moins, c’est que Michel Hazanavicius est également dessinateur. Depuis ses débuts, il remplit des dizaines de carnets de croquis pour préparer ses films. En 2024 il réalise son premier film d’animation, La Plus Précieuse des Marchandises, adapté du conte de Jean-Claude Grumberg, narrant l’histoire d’un enfant juif sauvé par une bûcheronne pendant la Seconde Guerre Mondiale. La « non-réalité » de l’animation lui permet de trouver la bonne distance par rapport au sujet du film, dont les dessins stylisés des personnages et des décors s’inspirent de l’esthétique des estampes japonaises.

Une sélection de ses dessins préparatoires et de ses carnets de travail est dévoilée au public pour la première fois dans l’espace de la Galerie Cinema. L’exposition s’envisage comme une plongée intime dans le processus créatif de l’artiste, qui avec son crayon explore les corps et les expressions du visage, révélant une sensibilité particulière pour l’être humain et les émotions qui le traversent.

Un extrait du film préparatoire de La Plus Précieuse des Marchandises, tourné en prises de vues réelles à la Cartoucherie de Vincennes, est visible dans la petite salle de projection de la galerie pendant la durée de l’exposition.

I JAMES FRANCO

09.10.24 > 09.11.24

Our hour of the night – Poems and Drawings

Anne-Dominique Toussaint est heureuse de présenter Our Hour of the Night, une exposi- tion inédite des dessins de James Franco. Ac- teur, réalisateur, scénariste et producteur, expé- rimentant dans différents champs artistiques, James Franco occupe aujourd’hui une place unique dans l’art contemporain.

Après son exposition photographique New Film Stills (2015), James Franco revient à la Galerie Cinema pour présenter une sélection de ses dessins et collages réalisés au cours des quatre dernières années.

À l’occasion de la publication de son recueil de poèmes et dessins Our Hour of the Night (Paly Press), les créations de l’artiste s’affichent dans l’espace de la Galerie comme des souvenirs intimes et collectifs à la fois. Ce sont les réminiscences d’un monde autrefois rêvé – celui d’Hollywood – que l’artiste triture à coup de crayon, rendant hommage à ses idoles tout en se révoltant contre un système aussi sédui- sant que destructeur.

Les dessins de James Franco apparaissent également sur les vêtements de sa marque Paly, dont des pièces uniques seront disponibles à la vente pendant toute la durée de l’exposition.

Le court-métrage The Feast of Stephen réalisé par James Franco sera visible dans la salle de projection de la Galerie.

Cette exposition a été conçue avec la collaboration amicale de Frank Elbaz

    I RAYMOND DEPARDON

    12.04.24 > 12.06.24

    Les années déclic

    À l’occasion de la sortie du livre Les Années déclic de Raymond Depardon et Gérard Lefort aux Éditions du Seuil, Anne-Dominique Toussaint est heureuse de présenter une nouvelle exposition des photographies de Raymond Depardon.

    Raymond Depardon occupe une place singulière dans le champ de l’image contemporaine. Cinéaste autant que photographe, il met l’image fixe et l’image animée au service d’une écriture unique. Né en 1942, il crée l’agence Gamma en 1966, puis intègre Magnum Photos. Il sillonne le monde, devient réalisateur en 1974 et connait depuis une carrière internationale en alternant photographie et cinéma.

    En 1960, Raymond Depardon est un très jeune reporter photographe ; il s’est acheté un scooter pour traverser Paris avec son Rolleiflex autour du cou et sera le témoin de l’effervescence des années 60-80 en France. Cette fresque d’une génération pétillante est marquée en toile de fond par l’actualité en France.

    Raymond Depardon a réalisé 21 longs métrages tous remarqués dans les plus grands festivals et est présent dans de nombreuses collections photographiques des plus prestigieux musées.

    Neuf ans après avoir présenté sa série de photographies sur l’asile psychiatrique de l’île de San Clemente, Raymond Depardon revient à la Galerie Cinéma avec une exposition inédite. De Brigitte Bardot sur le tournage de Vie Privée, à Jean-Luc Godard et Jean Seberg lors de l’avant-première d’À Bout de Souffle, l’artiste transpose son regard photographique sur les années déclic du Cinéma. Une trentaine de tirages argentiques présentant de nombreuses personnalités iconiques sont visibles sur les murs de la Galerie jusqu’au 12 juin.

    Le court-métrage Un moment si doux réalisé par Claudine Nougaret est diffusé dans la petite salle de projection de la galerie pendant toute la durée de l’exposition. ©Palmeraie et désert

    I COLINE SERREAU

    Photographies, dessins, aquarelles

    02.02.24 > 28.02.24

    Anne-Dominique Toussaint est heureuse de présenter une exposition de photographies, dessins et aquarelles de Coline Serreau, à la Galerie Cinema à partir du 2 février 2024.

    Après des études de Lettres et d’histoire de la musique, Coline Serreau s’oriente vers le métier d’actrice, l’écriture et la mise en scène pour le cinéma, le théâtre et l’opéra. En 1975, elle réalise son premier film Mais qu’est-ce qu’elles veulent, qui interroge la condition féminine en France, suivi par Pourquoi pas (1977) avec Sami Frey. Son film Trois Hommes et un couffin (1985), séduit plus de 12 millions de spectateurs, obtient trois Césars et est nominé aux Oscars et aux Golden Globes. Elle réalise ensuite plusieurs films à succès, parmi lesquels La Crise (César du meilleur scénario), La Belle Verte (dont elle compose la musique originale) ou encore Chaos, avec Vincent Lindon. Elle a également joué dans de nombreux spectacles de théâtre qu’elle a écrit, dont Quisaitout et Grobêta (cinq Molières) et Le Salon d ’été. Elle dirige depuis 2007 le Choeur Delta et elle crée en 2023 le seule en scène La belle histoire de Coline Serreau, qui se joue actuellement au théâtre Michel.

    Issue d’une famille d’artistes, Coline Serreau baigne depuis toujours dans un monde où les arts graphiques tiennent une très grande place. Elle étudie l’optique et la sensitométrie avant de réaliser ses premiers films et elle prend des photos quotidiennement, pour voir le monde, composer les cadres, observer les lumières. Avec l’arrivée du numérique, elle commence une recherche sur la transformation de l’image et réalise ses « photopeintures ». En travaillant sur les textures, les murs en décomposition, sur une nature encadrée ou déplacée, elle guette les métamorphoses de nos êtres et de la matière, essayant d’éveiller le spectateur par un regard différent, qui questionne nos certitudes.

    En parallèle du medium photographique, elle utilise le dessin et l’aquarelle pour capter la réalité qui l’entoure, créer des assemblages de couleurs qui vibrent et remplissent l’œil, mélangeant les techniques au gré des besoins d’expression. Un exercice qui lui permet de retravailler, retoucher, et puis laisser vivre le dessin, pour comprendre beaucoup plus tard cet inconscient qui guidait sa main… ou ne rien comprendre.

    Aujourd’hui pour la première fois, Coline Serreau montre ses créations dans l’espace de la Galerie Cinema. Une exposition inédite, permettant de découvrir une autre facette de cette grande cinéaste, qui est avant tout une artiste toujours en recherche. Un court-métrage documentaire sur l’univers créatif de Coline Serreau est visible dans la petite salle de projection de la galerie pendant la durée de l’exposition.

    I JAN KOUNEN

    Visions

    17.11.23 > 22.12.23

    À l’occasion de la sortie de la bande dessinée Docteur Ayahuasca (Éditions Guy Trédaniel graphic) et de l’exposition Visions Chamaniques au Musée du Quai Branly, Anne-Dominique Toussaint est heureuse de présenter Visions, une exposition des dessins de Jan Kounen.

    Réalisateur et scénariste français, Jan Kounen signe en 1996 son premier long-métrage, Dobermann, porté par Vincent Cassel. Après avoir voyagé au Mexique et au Pérou afin de s’immerger dans la culture des peuples indigènes, il réalise en 2004 le western Blueberry et le documentaire D’autres mondes. En 2007, il change complètement d’univers en mettant en scène la comédie 99F, féroce satire du monde de la pub. Par la suite, il poursuit son étude des médecines traditionnelles indigènes avec l’expérience de réalité virtuelle Kosmic Journey, reconstituant les effets du Ayahuasca et du soin d’un guérisseur shipibo.

    Défini par Enki Bilal comme une « une expérience immatérielle et hors normes » Doctor Ayahuasca est le journal de bord dessiné de Jan Kounen, sur la piste d’un « médecin » aux méthodes peu académiques : le remède traditionnel pour les guérisseurs Shipibos, un cheminement essentiel pour l’auteur depuis vingt-cinq ans.

    Réalisés pour la plupart sur des carnets de voyage, en utilisant aquarelle, gouache, encre et Posca, les dessins originaux de la bande dessinée habitent les murs de la Galerie Cinema aux côtés des story-boards et dessins préparatoires des films de Jan Kounen, pour une immersion à 360° dans l’univers visionnaire de l’artiste, questionnant les frontières entre art graphique et création cinématographique.

    L’histoire de Panshin Beka, segment du long métrage 8, est un court métrage construit autour des récits de sages-femmes shipibos. Le film est visible dans la petite salle de projection de la galerie pendant la durée de l’exposition.

    I HOLLYWOOD DOLCE VITA

    La collection de Sébastien Cauchon

    11.10.23 > 10.11.23

    A partir du 11 octobre 2023 Anne-Dominique Toussaint est heureuse de présenter HOLLYWOOD DOLCE VITA, une exposition dévoilant de nouvelles images des archives privées de la collection de Sébastien Cauchon.

    Cinéphile, auteur et collectionneur, Sébastien Cauchon a constitué depuis près de trente ans une collection unique en France de photographies et documents liés à l’âge d’or du cinéma hollywoodien. Après avoir conçu des expositions pour le festival de Venise (en partenariat avec l’Académie des Oscars), le festival Lumière de Lyon (exposition consacrée à Marilyn Monroe à la galerie de l’Institut Lumière) et le festival du cinéma américain de Deauville, c’est la première fois qu’il présente à Paris quelques-uns des trésors issus de ses archives.

    Avec 20 tirages grand format en noir et blanc d’après négatifs originaux (dont de nombreux inédits), HOLLYWOOD DOLCE VITA fait revivre le glamour, l’élégance et la fantaisie des soirées de galas hollywoodiennes en compagnie des grands noms du cinéma américain des années quarante et cinquante. Des images immortalisées par les nombreux photographes de presse anonymes qui couvraient alors les coulisses de La La Land pour alimenter les multiples revues consacrées aux stars de cinéma : Modern Screen, Movie Life, Movieland, Screen Stories, Photoplay, See…

    Une plongée inédite au cœur d’une époque flamboyante et disparue où la complicité régnait entre monstres sacrés d’Hollywood et photographes.

    | LABYRINTHES

    L’exposition événement du peintre fictif Renzo Nervi

    09.06.23 > 08.07.23

    À l’occasion de la sortie du film UN COUP DE MAÎTRE de Rémi Bezançon avec Vincent Macaigne et Bouli Lanners le 16 août 2023 au cinéma Anne-Dominique Toussaint et Zinc. sont heureux de présenter une exposition des tableaux réalisés pour le film par Adam Martyniak, Milosz Flis et Anita Welter.

    Un Coup de Maître raconte l’histoire d’Arthur (Vincent Macaigne), propriétaire d’une galerie d’art qui représente Renzo Nervi (Bouli Lanners), un peintre en pleine crise existentielle.
    Les deux hommes sont amis depuis toujours et, même si tout les oppose, l’amour de l’art les réunit. En panne de création depuis plusieurs années, Renzo sombre peu à peu dans une radicalité qui le rend ingérable. Pour le sauver, Arthur élabore un plan audacieux qui finira par les dépasser…

    Rémi Bezançon est réalisateur et scénariste. Révélé au grand public avec Premier jour du reste de ta vie en 2008, en 2011 il adapte le roman d’Eliette Abécassis Un Heureux événement, avec Louise Bourgoin et Pio Marmaï. Après un tournant vers l’animation avec Zarafa (2012), il revient ensuite à la prise de vue réelle avec Nos Futurs (2015) et Le Mystère Henri Pick (2019).

    L’exposition Labyrinthes du peintre fictif Renzo Nervi prend vie dans l’espace de la Galerie Cinema : les 18 tableaux réalisés pour le film nous emportent dans l’univers coloré et énigmatique d’un artiste controversé (et dans celui du cinéaste). Un faux documentaire sur Renzo Nervi, ainsi que des (vraies) interviews avec le réalisateur et les chefs décorateurs, sont visibles dans la petite salle de projection de la Galerie pendant l’exposition.

    Une vente aux enchères des tableaux sera organisée cet été au profit de l’association ACTION CONTRE LA FAIM.

    | PHILIPPE R. DOUMIC

    06.05.23 > 03.06.23

    À l’occasion de la sortie du dvd du film Sous son regard l’étincelle de Laurence Doumic et Sébastien Cauchon, à la suite du livre Philippe R. Doumic, l’œil du cinéma, édités par Capricci, Anne-Dominique Toussaint est heureuse de présenter une nouvelle exposition des photographies iconiques de Philippe R. Doumic à la Galerie Cinema.


    Dans les années 50, un jeune photographe fait ses débuts dans le métier, il réalise pour Unifrance films de nombreux portraits en noir et blanc des étoiles du cinéma français: des talents internationalement reconnus – Gérard Philippe, Michel Simon, Micheline Presle, Danièle Darrieux, Jean Gabin et bien d’autres – mais aussi des nouveaux venus – Catherine Deneuve, Jean-Paul Belmondo, Alain Delon, Brigitte Bardot – qui deviendront des figures légendaires du cinéma mondial.

    Il travaille en lumière naturelle et fait lui-même ses tirages. Il signe ses photos « Philippe R. Doumic ». Elles sont d’une beauté épurée, elles ne cherchent pas à s’afficher comme des objets artistiques, mais plutôt à dévoiler des personnalités, à travers des regards, des gestes et des élans naturels.
    Toutes ont dormi pendant soixante ans dans les meubles de son laboratoire à Paris puis dans une petite chambre de sa maison en Sologne. Certaines de ses images sont devenues emblématiques comme la photo de Godard à la pellicule, reproduite sur de très nombreuses publications. D’autres tout aussi belles sont restées inédites. Toutes constituent aujourd’hui un fonds remarquable, un témoignage mémoriel et artistique unique de cette époque rêvée du cinéma.


    L’ouvrage Philippe R. Doumic, l’œil du cinéma rend hommage à l’homme et à l’œuvre à travers près de 200 photographies de personnalités du cinéma, qui saisissent une époque autant que des regards d’une force rare. Il raconte aussi leur histoire et celle d’un homme très discret, sous la plume d’un témoin unique, sa fille Laurence.


    À travers les regards croisés de Laurence Doumic et Sébastien Cauchon, Sous son regard l’étincelle dresse le portrait intime d’un artiste méconnu, paradoxalement éclipsé par une œuvre sans équivalent aux côtés des grands noms du 7e Art français des années soixante. De la Sologne à Hollywood, en passant par Paris et New York, le film s’envisage comme une plongée au sein d’une décennie exceptionnelle, à la redécouverte d’un photographe au talent et au parcours réellement singuliers.


    Une sélection de 40 tirages en édition limitée sont disponibles à la vente sur les murs de la Galerie Cinema, tandis que des extraits du film sont visibles dans la petite salle de projection de la galerie pendant l’exposition.

    | THOMAS GOISQUE – Sur les chemins noirs

    17.03.23 > 01.04.23

    À l’occasion de la sortie au cinéma le 22 mars du film Sur les chemins noirs de Denis Imbert, tiré du livre autobiographique de Sylvain Tesson, avec Jean Dujardin, Anne-Dominique Toussaint est heureuse de présenter une exposition des photographies de Thomas Goisque.

    Sur les chemins noirs raconte l’histoire de Pierre (Jean Dujardin), écrivain explorateur qui, suite à un accident, plonge dans un coma profond. Revenu à la vie, il se fait la promesse de traverser la France à pied du Mercantour au Cotentin.

    Aventurier et écrivain français, Sylvain Tesson fascine ses lecteurs par ses récits de voyage. En 2009, il obtient le prix Goncourt de la nouvelle pour Une vie à coucher dehors. En 2016 il publie chez Gallimard Sur les chemins noirs, récit du voyage de reappropriation de son corps après un grave accident.

    Thomas Goisque est un reporter-photographe français né en 1969. Depuis plus de vingt ans, il parcourt le monde pour la presse magazine française et internationale. Collaborateur régulier du Figaro Magazine depuis 1994, il a déjà publié plus de soixante grands reportages et visité près de 90 pays.

    En 2015, Denis Imbert découvre les premières photos prises par Thomas Goisque, où y figure un Sylvain Tesson en héros rimbaldien, de son retour d’Afrique. C’est un homme affaibli, amaigri, armé de bâtons, luttant contre le relief escarpé d’une géographie de traverse. Le réalisateur est tout de suite séduit par le mouvement romanesque de cette marche forcée, qui s’envisage comme une fuite, une réparation, un voyage intérieur au cœur de la ruralité. Suivra la lecture du livre Sur les chemins noirs pour convaincre Denis Imbert d’adapter cette histoire au cinéma.

    Invité par Denis Imbert comme photographe de plateau, Thomas Goisque suit Jean Dujardin pendant le tournage, empruntant les mêmes chemins qu’il avait parcouru des années auparavant aux côtés de Sylvain Tesson. À travers ses clichés à la fois spectaculaires et introspectifs, les chemins de Sylvain et de Jean/Pierre se croisent le temps d’une promenade contemplative dans l’espace de la Galerie Cinema Anne-Dominique Toussaint.

    Dans la petite salle de projection, Sylvain Tesson nous raconte de sa rencontre avec Jean Dujardin lors du tournage du film.